Bonjour (ou bonsoir, tout dépend du moment où vous lirez ces mots) à tous !
Voilà, je voulais vous faire part de quelques écrits que j'ai réalisé : des poèmes. Oui, en effet, j'écris beaucoup de poèmes en ce moment, et ce pour une raison bien précise : je prépare un recueil de poèmes que je compte publier.
Je me suis donné cet objectif vers les dernières fêtes de Noël : je voulais écrire des poèmes tout au long d'une année, car, mon but étant de devenir écrivain, cela me permettrait de commencer déjà à me faire un petit peu de renom (ne serait-ce que très légèrement). Les poèmes ne prenant pas trop de temps à écrire contrairement aux nouvelles, aux romans ou je ne sais quoi, j'ai opté pour cette solution.
Bien sûr, ne comptez pas sur moi pour mettre tous les poèmes que j'ai déjà écrit, il faudra quand même que des gens achètent mon recueil ! Néanmoins, vous aurez droit à un petit avant-goût, et bien sûr vous pourrez (non, vous êtes obligés ! ^^) de mettre vos commentaires.
Voici donc ma petite sélection : le premier touche à ma vie personnelle, le deuxième vise un sujet humanitaire et le troisième parle de la vie en générale. Je vous laisse les découvrir...
Au revoir
Au revoir, très bon ami. Tu me manqueras,
Mais tu m'oublieras sans doute, si ce n'est pas fait.
Avant que tu ne sois parti, regarde-moi,
Et pense bien que jamais je ne t'oublierai.
Au revoir, grande lumière devenue ombre.
Autrefois, tu m'illuminais d'un grand bonheur.
Aujourd'hui, tu me fais devenir beaucoup plus sombre.
Mais est-ce toi le fautif de mon grand malheur ?
Au revoir, curieux personnage divisé.
Tu as été mon ami un temps. L'es-tu resté ?
Moi, le tien, j'ai bien évidemment été.
Réellement, c'était plus que de l'amitié.
Ah ! si seulement je te l'avais dit avant,
Peut-être ne m'ignorerais-tu pas ce jour.
Mais voilà, c'était trop tard. Et dorénavant,
Cela persécutera mon coeur pour toujours.
Mais je t'aime, car ton souvenir, en moi, reste !
Je t'aime plus que tout et quelque fois j'en pleure.
Et dans la nuit, sans aucun bruit, sans aucun geste,
Au-dessus de ces vers, mon âme se meurt.
Si je pouvais ne serait-ce que te toucher,
Te parler, t'entendre, m'amuser avec toi,
Et redevenir ton ami ! Oh, quelle joie !
J'agonise que cela ne soit que passé.
Malheureusement, un mur se trouve entre nous.
Tu m'ignores et je n'ose pas venir te voir.
Mais je peux le briser si tu en vaux le coût,
Et puis peut-être oublierons-nous cet "au revoir".
Homo sapiens
Je pense, tu penses, il pense, nous pensons,
Il se trouve donc qu'à l'évidence nous sommes,
Et j'aime, tu aimes, il aime, nous aimons,
Comme tous les autres êtres humains, en somme.
Je parle, tu parles, il parle, nous parlons,
Que ce soit avec la voix ou alors les gestes,
Et j'envie, tu envies, il envie, nous envions,
A tous et toutes de la jalousie il reste.
Si tous nous vivons, à quoi donc peuvent servir
Ces atrocités et ces inégalités ?
Ton identité et ta façon d'agir,
Quelles qu'elles soient, un Homo sapiens tu es.
Les aiguilles tournent
Le temps passe...
Et on grandit...
Et on vieillit...
Et on mûrit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Et des amis
Que l'on oublie,
Que l'on bannit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Se dépêcher
Pour exaucer
Tous ses souhaits
Avant que...
Le temps ne s'arrête.
(Pardon pour le sujet créé, j'avais pas vu celui-là.
)
Je vais en profiter pour remercier Ariane et Linkette et répondre à cette dernière : oui, j'en ai des plus joyeux, en voilà un, pour égayer un peu tout ça ! ^^
Poème de l'Amitié
Lorsque le ciel s'assombrit au loin,
Lorsque la mélancolie vous domine,
Lorsque vos yeux se noient et s'illuminent,
Lorsqu'en votre coeur loge le chagrin,
Les voilà, venant au plus près de vous,
S'inquiétant, vous consolant, vous enjouant,
Vous voilà plus fort, vous êtes géant,
Prêt à défier le monde et son courroux.
Cette force provient de vos amis.
Ils sont toujours là pour que vous riiez,
Ils sont toujours là pour pouvoir parler.
Sans eux, à quoi ressemblerait la vie ?
Nous vivons pour nous, mais aussi pour eux :
Nous sommes leurs amis également.
Et restons-les jusqu'à la fin des temps,
Car l'Amitié rend n'importe qui heureux.