Poèmes
- kb61
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Re: Poèmes
Voici que voila des oeuvres que vous ne verrez nul part ,normale ils sont de moi XD
Il peuvent être simple mais bon je les mets tout de même .
L'inspiration manquant
Les mots me manquent pour cette présentation
Mon âme se tourmente de ce manque d'inspiration .
Devant cette page presque blanche
Mon esprit ,mes idées flanches .
La lumière ne vient pas à moi
Je ne peux qu'avertir des lois .
Le flood vient à moi comme un délice
Mais je ne peux céder à ce vice .
Il peuvent être simple mais bon je les mets tout de même .
L'inspiration manquant
Les mots me manquent pour cette présentation
Mon âme se tourmente de ce manque d'inspiration .
Devant cette page presque blanche
Mon esprit ,mes idées flanches .
La lumière ne vient pas à moi
Je ne peux qu'avertir des lois .
Le flood vient à moi comme un délice
Mais je ne peux céder à ce vice .
- Ariane
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Re: Poèmes


€dit Jerder : si il y en a au moins une :
Kibi a écrit :mes idées flanches
EDIT St-Renan : Bwaaaah il nous aura tous

- GANONDWARF
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Re: Poèmes
Bonjour (ou bonsoir, tout dépend du moment où vous lirez ces mots) à tous !
Voilà, je voulais vous faire part de quelques écrits que j'ai réalisé : des poèmes. Oui, en effet, j'écris beaucoup de poèmes en ce moment, et ce pour une raison bien précise : je prépare un recueil de poèmes que je compte publier.
Je me suis donné cet objectif vers les dernières fêtes de Noël : je voulais écrire des poèmes tout au long d'une année, car, mon but étant de devenir écrivain, cela me permettrait de commencer déjà à me faire un petit peu de renom (ne serait-ce que très légèrement). Les poèmes ne prenant pas trop de temps à écrire contrairement aux nouvelles, aux romans ou je ne sais quoi, j'ai opté pour cette solution.
Bien sûr, ne comptez pas sur moi pour mettre tous les poèmes que j'ai déjà écrit, il faudra quand même que des gens achètent mon recueil ! Néanmoins, vous aurez droit à un petit avant-goût, et bien sûr vous pourrez (non, vous êtes obligés ! ^^) de mettre vos commentaires.
Voici donc ma petite sélection : le premier touche à ma vie personnelle, le deuxième vise un sujet humanitaire et le troisième parle de la vie en générale. Je vous laisse les découvrir...
Au revoir
Au revoir, très bon ami. Tu me manqueras,
Mais tu m'oublieras sans doute, si ce n'est pas fait.
Avant que tu ne sois parti, regarde-moi,
Et pense bien que jamais je ne t'oublierai.
Au revoir, grande lumière devenue ombre.
Autrefois, tu m'illuminais d'un grand bonheur.
Aujourd'hui, tu me fais devenir beaucoup plus sombre.
Mais est-ce toi le fautif de mon grand malheur ?
Au revoir, curieux personnage divisé.
Tu as été mon ami un temps. L'es-tu resté ?
Moi, le tien, j'ai bien évidemment été.
Réellement, c'était plus que de l'amitié.
Ah ! si seulement je te l'avais dit avant,
Peut-être ne m'ignorerais-tu pas ce jour.
Mais voilà, c'était trop tard. Et dorénavant,
Cela persécutera mon coeur pour toujours.
Mais je t'aime, car ton souvenir, en moi, reste !
Je t'aime plus que tout et quelque fois j'en pleure.
Et dans la nuit, sans aucun bruit, sans aucun geste,
Au-dessus de ces vers, mon âme se meurt.
Si je pouvais ne serait-ce que te toucher,
Te parler, t'entendre, m'amuser avec toi,
Et redevenir ton ami ! Oh, quelle joie !
J'agonise que cela ne soit que passé.
Malheureusement, un mur se trouve entre nous.
Tu m'ignores et je n'ose pas venir te voir.
Mais je peux le briser si tu en vaux le coût,
Et puis peut-être oublierons-nous cet "au revoir".
Homo sapiens
Je pense, tu penses, il pense, nous pensons,
Il se trouve donc qu'à l'évidence nous sommes,
Et j'aime, tu aimes, il aime, nous aimons,
Comme tous les autres êtres humains, en somme.
Je parle, tu parles, il parle, nous parlons,
Que ce soit avec la voix ou alors les gestes,
Et j'envie, tu envies, il envie, nous envions,
A tous et toutes de la jalousie il reste.
Si tous nous vivons, à quoi donc peuvent servir
Ces atrocités et ces inégalités ?
Ton identité et ta façon d'agir,
Quelles qu'elles soient, un Homo sapiens tu es.
Les aiguilles tournent
Le temps passe...
Et on grandit...
Et on vieillit...
Et on mûrit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Et des amis
Que l'on oublie,
Que l'on bannit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Se dépêcher
Pour exaucer
Tous ses souhaits
Avant que...
Le temps ne s'arrête.
(Pardon pour le sujet créé, j'avais pas vu celui-là.
)
Je vais en profiter pour remercier Ariane et Linkette et répondre à cette dernière : oui, j'en ai des plus joyeux, en voilà un, pour égayer un peu tout ça ! ^^
Poème de l'Amitié
Lorsque le ciel s'assombrit au loin,
Lorsque la mélancolie vous domine,
Lorsque vos yeux se noient et s'illuminent,
Lorsqu'en votre coeur loge le chagrin,
Les voilà, venant au plus près de vous,
S'inquiétant, vous consolant, vous enjouant,
Vous voilà plus fort, vous êtes géant,
Prêt à défier le monde et son courroux.
Cette force provient de vos amis.
Ils sont toujours là pour que vous riiez,
Ils sont toujours là pour pouvoir parler.
Sans eux, à quoi ressemblerait la vie ?
Nous vivons pour nous, mais aussi pour eux :
Nous sommes leurs amis également.
Et restons-les jusqu'à la fin des temps,
Car l'Amitié rend n'importe qui heureux.
Voilà, je voulais vous faire part de quelques écrits que j'ai réalisé : des poèmes. Oui, en effet, j'écris beaucoup de poèmes en ce moment, et ce pour une raison bien précise : je prépare un recueil de poèmes que je compte publier.
Je me suis donné cet objectif vers les dernières fêtes de Noël : je voulais écrire des poèmes tout au long d'une année, car, mon but étant de devenir écrivain, cela me permettrait de commencer déjà à me faire un petit peu de renom (ne serait-ce que très légèrement). Les poèmes ne prenant pas trop de temps à écrire contrairement aux nouvelles, aux romans ou je ne sais quoi, j'ai opté pour cette solution.
Bien sûr, ne comptez pas sur moi pour mettre tous les poèmes que j'ai déjà écrit, il faudra quand même que des gens achètent mon recueil ! Néanmoins, vous aurez droit à un petit avant-goût, et bien sûr vous pourrez (non, vous êtes obligés ! ^^) de mettre vos commentaires.
Voici donc ma petite sélection : le premier touche à ma vie personnelle, le deuxième vise un sujet humanitaire et le troisième parle de la vie en générale. Je vous laisse les découvrir...
Au revoir
Au revoir, très bon ami. Tu me manqueras,
Mais tu m'oublieras sans doute, si ce n'est pas fait.
Avant que tu ne sois parti, regarde-moi,
Et pense bien que jamais je ne t'oublierai.
Au revoir, grande lumière devenue ombre.
Autrefois, tu m'illuminais d'un grand bonheur.
Aujourd'hui, tu me fais devenir beaucoup plus sombre.
Mais est-ce toi le fautif de mon grand malheur ?
Au revoir, curieux personnage divisé.
Tu as été mon ami un temps. L'es-tu resté ?
Moi, le tien, j'ai bien évidemment été.
Réellement, c'était plus que de l'amitié.
Ah ! si seulement je te l'avais dit avant,
Peut-être ne m'ignorerais-tu pas ce jour.
Mais voilà, c'était trop tard. Et dorénavant,
Cela persécutera mon coeur pour toujours.
Mais je t'aime, car ton souvenir, en moi, reste !
Je t'aime plus que tout et quelque fois j'en pleure.
Et dans la nuit, sans aucun bruit, sans aucun geste,
Au-dessus de ces vers, mon âme se meurt.
Si je pouvais ne serait-ce que te toucher,
Te parler, t'entendre, m'amuser avec toi,
Et redevenir ton ami ! Oh, quelle joie !
J'agonise que cela ne soit que passé.
Malheureusement, un mur se trouve entre nous.
Tu m'ignores et je n'ose pas venir te voir.
Mais je peux le briser si tu en vaux le coût,
Et puis peut-être oublierons-nous cet "au revoir".
Homo sapiens
Je pense, tu penses, il pense, nous pensons,
Il se trouve donc qu'à l'évidence nous sommes,
Et j'aime, tu aimes, il aime, nous aimons,
Comme tous les autres êtres humains, en somme.
Je parle, tu parles, il parle, nous parlons,
Que ce soit avec la voix ou alors les gestes,
Et j'envie, tu envies, il envie, nous envions,
A tous et toutes de la jalousie il reste.
Si tous nous vivons, à quoi donc peuvent servir
Ces atrocités et ces inégalités ?
Ton identité et ta façon d'agir,
Quelles qu'elles soient, un Homo sapiens tu es.
Les aiguilles tournent
Le temps passe...
Et on grandit...
Et on vieillit...
Et on mûrit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Et des amis
Que l'on oublie,
Que l'on bannit...
Triste est la vie...
Le temps passe...
Se dépêcher
Pour exaucer
Tous ses souhaits
Avant que...
Le temps ne s'arrête.
(Pardon pour le sujet créé, j'avais pas vu celui-là.

Je vais en profiter pour remercier Ariane et Linkette et répondre à cette dernière : oui, j'en ai des plus joyeux, en voilà un, pour égayer un peu tout ça ! ^^
Poème de l'Amitié
Lorsque le ciel s'assombrit au loin,
Lorsque la mélancolie vous domine,
Lorsque vos yeux se noient et s'illuminent,
Lorsqu'en votre coeur loge le chagrin,
Les voilà, venant au plus près de vous,
S'inquiétant, vous consolant, vous enjouant,
Vous voilà plus fort, vous êtes géant,
Prêt à défier le monde et son courroux.
Cette force provient de vos amis.
Ils sont toujours là pour que vous riiez,
Ils sont toujours là pour pouvoir parler.
Sans eux, à quoi ressemblerait la vie ?
Nous vivons pour nous, mais aussi pour eux :
Nous sommes leurs amis également.
Et restons-les jusqu'à la fin des temps,
Car l'Amitié rend n'importe qui heureux.
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Re: Poèmes
Woah, mais c'est qu'on a des grands écrivains par ici 
Et bien, disons que je n'écris que très peu de poème (quoi, j'en ai écris cinq dans ma vie ? Dont deux pour des projets scolaires
), mais en voilà un petit que j'ai fait dernièrement
Gardienne forteresse
Au-delà des frontières de la terre,
Au-delà puis au-delà encore…
Jusqu'aux entrailles des profondeurs,
Lovée au creux des fondements du monde
Sans aucun lien avec les flots de la mer,
Protégés entre les racines des mandragores…
Au-delà puis au-delà de son cœur,
Ses murailles et ses sentinelles vagabondent
C'est une citadelle refuge des âmes qui errent,
Qui entre les marées de la surface s'endort…
Au-delà de ses tours faisant rêver la torpeur,
Les ombres dansent sous les hommes qu'ils confondent
Au-delà des frontières de la terre,
Au-delà puis au-delà encore…
Bercée par le bruit de l'eau des profondeurs,
C'est une citadelle qui soutient le monde

Et bien, disons que je n'écris que très peu de poème (quoi, j'en ai écris cinq dans ma vie ? Dont deux pour des projets scolaires

Gardienne forteresse
Au-delà des frontières de la terre,
Au-delà puis au-delà encore…
Jusqu'aux entrailles des profondeurs,
Lovée au creux des fondements du monde
Sans aucun lien avec les flots de la mer,
Protégés entre les racines des mandragores…
Au-delà puis au-delà de son cœur,
Ses murailles et ses sentinelles vagabondent
C'est une citadelle refuge des âmes qui errent,
Qui entre les marées de la surface s'endort…
Au-delà de ses tours faisant rêver la torpeur,
Les ombres dansent sous les hommes qu'ils confondent
Au-delà des frontières de la terre,
Au-delà puis au-delà encore…
Bercée par le bruit de l'eau des profondeurs,
C'est une citadelle qui soutient le monde
Nouveau dessin! Raja Rakshasa de HOMM5 : http://www.youtube.com/watch?v=wtLaGD5pk2o" onclick="window.open(this.href);return false; 
"La vengeance est douce, quand.. on la savonne comme il faut." - Charles Patenaude

"La vengeance est douce, quand.. on la savonne comme il faut." - Charles Patenaude
- GANONDWARF
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Re: Poèmes
Ouaaah, j'adore ton poème, LinkleQuébécois ! O_O Mes sincères félicitations !
En v'là un autre de moi, écrit lundi soir :
L'arbre et l'enfant
Viens, petit, approche-toi de mon tronc.
Parlons de ton espèce, les humains.
Il faut que tu saches tout ce qu'ils font,
Que tu ne fasses pas pareil demain.
Je suis vieux, je les ai vus débuter,
Lentement, je les ai vu évoluer.
Maintenant, notre monde bien-aimé,
Vois, le pauvre, comme ils l'ont saccagé.
Ils veulent être appelés Homo sapiens,
Mais Homo égoïstus serait mieux.
C'est ainsi que l'on nomme ces grands princes
Dans la nature, c'est bien plus sérieux.
Mais voilà, tout est fini maintenant :
La Terre périt petit à petit.
Peut-être peux-tu l'aider, mon enfant,
Pour que nous ayons un espoir de vie.
En v'là un autre de moi, écrit lundi soir :
L'arbre et l'enfant
Viens, petit, approche-toi de mon tronc.
Parlons de ton espèce, les humains.
Il faut que tu saches tout ce qu'ils font,
Que tu ne fasses pas pareil demain.
Je suis vieux, je les ai vus débuter,
Lentement, je les ai vu évoluer.
Maintenant, notre monde bien-aimé,
Vois, le pauvre, comme ils l'ont saccagé.
Ils veulent être appelés Homo sapiens,
Mais Homo égoïstus serait mieux.
C'est ainsi que l'on nomme ces grands princes
Dans la nature, c'est bien plus sérieux.
Mais voilà, tout est fini maintenant :
La Terre périt petit à petit.
Peut-être peux-tu l'aider, mon enfant,
Pour que nous ayons un espoir de vie.
- Sandy
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- Localisation : En train de te faire un sale coup ! Non, je blague.
Re: Poèmes
GANONDWARF : J'adore tes poèmes, je suis fan ! :3
Eh ben sinon un que je viens d'écrire à l'instant, un devoir d'école. Faut faire sur le thème de la rencontre. (Le Pailles-en-queue sont une race d'oiseau, symbole de l'île Maurice... -Si vous regardez le logo d'air Mauritius, et ben, l'oiseau, c'est un paile-en-queue !
)
"Les Pailles-en-Queues"
Aussi gracile, le Paille-en-Queue
Vole,
Volette,
Vers les cieux,
Le Soleil.
Les ailes blanches, les yeux ébène,
Il guette, le coeur battant, une jolie femelle,
Une jolie petite bête.
"Vous voilà bien gracile, vous aussi,
Jolie femelle, s'exclame-t-il,
Battant des ailes.
-Oh, beau paille-en-queue,
Que vous êtes charmant, et bien blanc, (XD)
Répond la jolie petite bête.
Ils font connaissance, les yeux ébène,
L'un bien blanc, l'autre gracile.
Les Pailles-en-Queue
Volent,
Volettent,
Vers les cieux,
Le soleil.
Eh ben sinon un que je viens d'écrire à l'instant, un devoir d'école. Faut faire sur le thème de la rencontre. (Le Pailles-en-queue sont une race d'oiseau, symbole de l'île Maurice... -Si vous regardez le logo d'air Mauritius, et ben, l'oiseau, c'est un paile-en-queue !

"Les Pailles-en-Queues"
Aussi gracile, le Paille-en-Queue
Vole,
Volette,
Vers les cieux,
Le Soleil.
Les ailes blanches, les yeux ébène,
Il guette, le coeur battant, une jolie femelle,
Une jolie petite bête.
"Vous voilà bien gracile, vous aussi,
Jolie femelle, s'exclame-t-il,
Battant des ailes.
-Oh, beau paille-en-queue,
Que vous êtes charmant, et bien blanc, (XD)
Répond la jolie petite bête.
Ils font connaissance, les yeux ébène,
L'un bien blanc, l'autre gracile.
Les Pailles-en-Queue
Volent,
Volettent,
Vers les cieux,
Le soleil.
... Alias Sandwich' sur le Palaiszelda.com
Fuuuuuuuuuuusiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooon ! /o/\o\
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- Luffy
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- Localisation : En train de plaider !
Re: Poèmes
Waaaaaaaaaah, Ganondwarf et LinkLeQuébécquois, je suis absolument fan ! J'en veux d'autres !
Bon, voilà sinon comme j'adore écrire et que selon les commentaires de mes proches, j'ai un talent (bien que je ne souhaite pas devenir écrivain), j'aime beaucoup écrire des poèmes. En voici un que j'ai fait il y a quelques mois (dont je suis assez fier d'ailleurs) sur les hommes suicidaires (bin quoi, on peut écrire sur tout non ?) :
Il existe des hommes qui, en apparence,
Sont normaux, mais qui vivent dans une existence
Infernales. Ils ont des envies suicidaires,
Qui pourrait bien causer la fin de leur enfer.
Ces humains vivent bien plus que de simples maux,
Ils subissent plutôt des tourments infernaux.
Il est anormal pour ces personnes de pouvoir
Sombrer, si facilement, dans le désespoir.
Elles ont, comme tout le monde, droit à la chance,
De mener une vie, remplie de leurs espérances.
Pour vouloir vivre, ils doivent faire une rencontre
Et ainsi, cet enfer, aisément le rompre.
Là, ces gens pourront reprendre une vie normale,
Sans plus aucune tentation d'envie létale.
Bon, voilà sinon comme j'adore écrire et que selon les commentaires de mes proches, j'ai un talent (bien que je ne souhaite pas devenir écrivain), j'aime beaucoup écrire des poèmes. En voici un que j'ai fait il y a quelques mois (dont je suis assez fier d'ailleurs) sur les hommes suicidaires (bin quoi, on peut écrire sur tout non ?) :
Il existe des hommes qui, en apparence,
Sont normaux, mais qui vivent dans une existence
Infernales. Ils ont des envies suicidaires,
Qui pourrait bien causer la fin de leur enfer.
Ces humains vivent bien plus que de simples maux,
Ils subissent plutôt des tourments infernaux.
Il est anormal pour ces personnes de pouvoir
Sombrer, si facilement, dans le désespoir.
Elles ont, comme tout le monde, droit à la chance,
De mener une vie, remplie de leurs espérances.
Pour vouloir vivre, ils doivent faire une rencontre
Et ainsi, cet enfer, aisément le rompre.
Là, ces gens pourront reprendre une vie normale,
Sans plus aucune tentation d'envie létale.
- Luffy
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Re: Poèmes
Petit up. Je poste un autre poème que j'ai composé hier soir en pensant à la fille que j'aime :
Mon amour pour toi se languit en ton absence,
Même s'il en garde toute sa consistance.
C'est pourquoi ces vacanes j'ai tant redouté,
Car je pouvais plus être à tes côtés.
Bien que certaines distances nous séparent,
Je ne peux empêcher le souhait de te voir,
Car même si tu n'es pas amoureuse de moi,
Ta toute simple compagnie m'emplit de joie.
Après, je m'enduis peut-être dans l'erreur,
En disant qu'envers moi rien n'anime ton coeur.
C'est pourquoi je me permets de te demander
Si un amour pour moi s'est matérialisé.
Mon amour pour toi se languit en ton absence,
Même s'il en garde toute sa consistance.
C'est pourquoi ces vacanes j'ai tant redouté,
Car je pouvais plus être à tes côtés.
Bien que certaines distances nous séparent,
Je ne peux empêcher le souhait de te voir,
Car même si tu n'es pas amoureuse de moi,
Ta toute simple compagnie m'emplit de joie.
Après, je m'enduis peut-être dans l'erreur,
En disant qu'envers moi rien n'anime ton coeur.
C'est pourquoi je me permets de te demander
Si un amour pour moi s'est matérialisé.
- LinkleQuébécois
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Re: Poèmes
Woah Luffy j'aime beaucoup ton dernier poème, je m'identifie ^^ enfin, je pense plutôt à un gars que j'aime bien et ça m'émeut 
Merci pour ceux qui ont aimé mon premier poème
En voici un deuxième, que je viens d'écrire parce que j'arrive pas du tout à m'endormir
Navires oubliés ou Les licornes
Ô! noble forêt bercée par le vent,
Sous tes frondaisons d'été se cachent-elles
Entre tes troncs séchés murmurent-elles
Le souffle d'un monde que toi seule tu entends
Ô! noble forêt perchée sur le rivage,
À l'orée de tes grands arbres attendent-elles
Sculptées dans le blanc marbre veillent-elles
Gardiennes du souvenir de ces attristés naufrages
C'est la belle mer ondoyante au long de la forêt,
Qui a porté ces navires de son cœur à sa peau,
Ses vagues les ont bousculés jusqu'à la rive verte,
Là où elles étaient, veillaient et scrutaient les douces vagues
Ô! nobles dames cachées entre les arbres,
À vous, juments immaculées, ces mots adressai-je
Pour vous, tourments vite calmés, ces pensées songeai-je…
Je vois les navires oubliés se réfugier entre vos sabots,
De grâce, accordez-leur cette bougie qui voguera sur l'eau

Merci pour ceux qui ont aimé mon premier poème

En voici un deuxième, que je viens d'écrire parce que j'arrive pas du tout à m'endormir
Navires oubliés ou Les licornes
Ô! noble forêt bercée par le vent,
Sous tes frondaisons d'été se cachent-elles
Entre tes troncs séchés murmurent-elles
Le souffle d'un monde que toi seule tu entends
Ô! noble forêt perchée sur le rivage,
À l'orée de tes grands arbres attendent-elles
Sculptées dans le blanc marbre veillent-elles
Gardiennes du souvenir de ces attristés naufrages
C'est la belle mer ondoyante au long de la forêt,
Qui a porté ces navires de son cœur à sa peau,
Ses vagues les ont bousculés jusqu'à la rive verte,
Là où elles étaient, veillaient et scrutaient les douces vagues
Ô! nobles dames cachées entre les arbres,
À vous, juments immaculées, ces mots adressai-je
Pour vous, tourments vite calmés, ces pensées songeai-je…
Je vois les navires oubliés se réfugier entre vos sabots,
De grâce, accordez-leur cette bougie qui voguera sur l'eau
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"La vengeance est douce, quand.. on la savonne comme il faut." - Charles Patenaude

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- GANONDWARF
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Re: Poèmes
Petit poème de mon cru... J'en posterai sûrement un autre plus tard, sauf qu'il fait plus de quarante vers, et là j'ai pas trop l'temps non plus.
Trésor perdu
Je marchais sous la pluie
Quand j'ai vu ton visage.
Puis, je fus ébloui
Et secoué par l'orage.
Je t'ai cherché partout,
Et ça, pendant longtemps :
Au-dessus, au-dessous,
En dehors, en dedans.
Je me suis envolé
Dans le ciel plein d'étoiles
Et alors j'ai crié
Ton nom comme un scandale.
J'ai caressé les murs
Pou t'entendre m'aimer,
Mais ton petit cœur dur
Ne savait plus vibrer.
Trésor perdu
Je marchais sous la pluie
Quand j'ai vu ton visage.
Puis, je fus ébloui
Et secoué par l'orage.
Je t'ai cherché partout,
Et ça, pendant longtemps :
Au-dessus, au-dessous,
En dehors, en dedans.
Je me suis envolé
Dans le ciel plein d'étoiles
Et alors j'ai crié
Ton nom comme un scandale.
J'ai caressé les murs
Pou t'entendre m'aimer,
Mais ton petit cœur dur
Ne savait plus vibrer.
- Midna 63
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Re: Poèmes
Je vous offre ici de la prose poétique, à la Baudelaire, car de véritable poème en rimes ma plume ne s'enorgueillit guère encore.
Lisez, aimez, jugez, haissez... Qu'importe ?!
Lisez, aimez, jugez, haissez... Qu'importe ?!
Ô vie, merveilleuse et terrible à la fois, j’emprunte tes chemins, mais je me perds.
Le temps passe doux et grave, cher et triste, plus je m’éloigne de toi en vérité.
Depuis toujours le chagrin me serre le cœur; mon âme s’agite et j’erre;
Seule sur terre - hélas! - comme j’aimerais enfin pouvoir me reposer.
Deux voix s’élèvent en moi, irréconciliables; l’une t’aime douce vie;
L’autre te méprise et ne chercherait qu’à te quitter - si elle le pouvait!
Mais elles t’aiment, ces deux âmes, elles t’aiment même dans leurs larmes.
Car vie cruelle que tu es, douloureuse que tu es, elles ne peuvent se séparer -
- de toi car l’une comme l’autre, oui toutes deux, malgré leur profonde peine -
Elles t’embrassent, elles te pressent contre elles en dépit de leurs douleurs, ô vie!
Car elles t’aiment, ô vie! Car elles t’aiment!
Le temps passe doux et grave, cher et triste, plus je m’éloigne de toi en vérité.
Depuis toujours le chagrin me serre le cœur; mon âme s’agite et j’erre;
Seule sur terre - hélas! - comme j’aimerais enfin pouvoir me reposer.
Deux voix s’élèvent en moi, irréconciliables; l’une t’aime douce vie;
L’autre te méprise et ne chercherait qu’à te quitter - si elle le pouvait!
Mais elles t’aiment, ces deux âmes, elles t’aiment même dans leurs larmes.
Car vie cruelle que tu es, douloureuse que tu es, elles ne peuvent se séparer -
- de toi car l’une comme l’autre, oui toutes deux, malgré leur profonde peine -
Elles t’embrassent, elles te pressent contre elles en dépit de leurs douleurs, ô vie!
Car elles t’aiment, ô vie! Car elles t’aiment!

"Depuis ma défaite lors d'une bataille pour mon royaume...
Je me suis enfoui dans un songe d'oubli, attendant celui qui viendrait réveiller mon âme."
- GANONDWARF
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Re: Poèmes
J'aime bien ton poème Midna 63. :-) Et maintenant, as un, pas deux, pas trois... mais quatre poèmes !! Attention, du très, très, très grand cru Ganondwarf, ils font partie de mes meilleurs (normal, eh, ils sont très récents) ! Si je ne devais vous en conseiller qu'un seul, ce serait Le Jardin des Souvenirs... Je l'aime beaucoup, il m'émeut un peu quand je le lis, et je le trouve beau à prononcer... Il résonne parfaitement comme je le souhaitais... Bonne lecture !
Toi l'homme
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Qu'Homère t'ait loué et que l'on te croit bon
Et vaillant, tout est faux, tout n'est qu'illusion.
De cacher qui tu es, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Ces pillages, ces tueries, quelle douceur sont-elles ?
Ta ruse accroît parfois ta barbarie cruelle !
De cet or et ce sang, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Car, quand ta dulcinée s'échinait à t'attendre,
Circé et Calypso savouraient ta peau tendre !
De cette tromperie, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Honte de croire autant àces dieux immortels ?
Pourtant, ta foi, vaillance a apporté du ciel...
De ta naïveté, des remords je n'escompte.
Entends la voix des morts qui voulaient ta confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, aurais-tu trop de honte ?
Servant désespéré, voyageur de misère,
Tu n'as fait qu'imiter le reste de tes frères
Que, pour ces grands remords, ton repenti l'on escompte.
Entends la voix des morts qui te redonnent chance.
Le Jardin des Souvenirs
Dans le Jardin des Souvenirs
Il y a des rosiers
Qu'on voit s'enfuir
L'été
Ils arrivent dans nos contrées
Et ils portent des voix
À nos pensées
Pourquoi
Dans le Jardin des Souvenirs
Pourquoi ce moment de joie
Pourquoi nos rires
Pourquoi
En cet instant spécialement
Dois-je la voir pleurer
Cette maman
Pitié
Toi le Jardin des Souvenirs
Vois comme nous pensons
Comme nos rires
S'en vont
Que c'est toute l'année qu'on pense
À celui peu connu
Et à la chance
Perdue
Toi le Jardin des Souvenirs
Reste donc les garder
Fais-les fleurir
L'été
Laisse ces amoureux là-bas
Il ne faut t'inquiéter
L'âme n'est pas
Brûlée
Jardin
Des Souvenirs
Puisses-tu ouïr enfin
Que l'on sait seuls le deuil tenir
Nous n'oublieront sûrement pas
Toi tiens-les juste dans tes bras.
Trois ans
Début du premier acte. Un escalier. Il le monte avec l'angoisse au cœur. Entrée en scène de l'autre. Interpellation. Passage du mot. Ultime séparation, cri et fuite. Puis, le silence. Fin de l'unique acte.
Je me souviens de nos rires nos jeux
De toi ton cœur de feu ton corps de flammes
Je ne sais quoi penser moi l'amoureux
Depuis que tu as mis l'ultime lame
Maintenant tout me paraît presque vieux
Oui ce ne sont que trois années
Ce sont trois petites années
Pourtant
J'ai vécu toutes sortes d'autres choses
J'aimais pour qu'on m'aime et ne plus t'aimer
Adieu cœur cruel adieu cœur morose
Je le répète je l'ai répété
Et de ce mur peu m'importent les causes
Mais ce ne sont que trois années
Ce sont trois légères années
Pourtant
J'ai changé car le temps fait des merveilles
Mais peut-être que je te reverrai
Alors si tu vois mes deux joues vermeilles
Que tu aies encore un toit se pourrait
Et ce bien qu'il ne sera plus le même
Car ce ne sont que trois années
Ce sont trois trop courtes années
Pourtant
Je l'ai tout le temps souhaité
Je l'ai presque réalisé
Mais je ne t'ai pas oublié.
Peut-être
Je t'ai vue
Tu étais belle
Tu m'intriguais
Tu m'intéressais
Tu n'étais pas
Comme moi
Comme les autres
Et pourtant tu ressemblais
À l'être parfait
Je t'aimais
Peut-être
Et quand à ces mots
Ces trois ces seuls
Je t'aime mais mois aussi
Emporté par la fougue et la joie
Te voilà dans mes bras
Nous voilà unis
Rêvant d'avenir
Riant
Sous le soleil
Qui destinait à nos chants nuptiaux
De nous faire grands amants de l'Histoire
Uniques
Heureux
Toi en fière amoureuse
Et moi
Et moi
Nous devions avoir tout cela
Pourtant
Des nos caresses sans chaleur
Des nos baisers sans douceur
Que mon désir est inassouvi
Que ma bouche est amère
Merde
Que mon corps est intact
Et quand la vérité m'apparaît
Dans le silence
Tu t'en vas
Me jetant parfois des regards
Me crachant d'autres fois ton venin
Mais les questions
Les questions
Restent
Voilà la pluie Suis-je belle
À quand le beau temps Suis-je belle
Je vais maintenant oublier
Peut-être...
Toi l'homme
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Qu'Homère t'ait loué et que l'on te croit bon
Et vaillant, tout est faux, tout n'est qu'illusion.
De cacher qui tu es, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Ces pillages, ces tueries, quelle douceur sont-elles ?
Ta ruse accroît parfois ta barbarie cruelle !
De cet or et ce sang, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Car, quand ta dulcinée s'échinait à t'attendre,
Circé et Calypso savouraient ta peau tendre !
De cette tromperie, tes grands remords j'escompte !
Entends la voix des morts qui te faisaient confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, as-tu bien de la honte ?
Honte de croire autant àces dieux immortels ?
Pourtant, ta foi, vaillance a apporté du ciel...
De ta naïveté, des remords je n'escompte.
Entends la voix des morts qui voulaient ta confiance...
Ô ! Ulysse, toi l'homme, aurais-tu trop de honte ?
Servant désespéré, voyageur de misère,
Tu n'as fait qu'imiter le reste de tes frères
Que, pour ces grands remords, ton repenti l'on escompte.
Entends la voix des morts qui te redonnent chance.
Le Jardin des Souvenirs
Dans le Jardin des Souvenirs
Il y a des rosiers
Qu'on voit s'enfuir
L'été
Ils arrivent dans nos contrées
Et ils portent des voix
À nos pensées
Pourquoi
Dans le Jardin des Souvenirs
Pourquoi ce moment de joie
Pourquoi nos rires
Pourquoi
En cet instant spécialement
Dois-je la voir pleurer
Cette maman
Pitié
Toi le Jardin des Souvenirs
Vois comme nous pensons
Comme nos rires
S'en vont
Que c'est toute l'année qu'on pense
À celui peu connu
Et à la chance
Perdue
Toi le Jardin des Souvenirs
Reste donc les garder
Fais-les fleurir
L'été
Laisse ces amoureux là-bas
Il ne faut t'inquiéter
L'âme n'est pas
Brûlée
Jardin
Des Souvenirs
Puisses-tu ouïr enfin
Que l'on sait seuls le deuil tenir
Nous n'oublieront sûrement pas
Toi tiens-les juste dans tes bras.
Trois ans
Début du premier acte. Un escalier. Il le monte avec l'angoisse au cœur. Entrée en scène de l'autre. Interpellation. Passage du mot. Ultime séparation, cri et fuite. Puis, le silence. Fin de l'unique acte.
Je me souviens de nos rires nos jeux
De toi ton cœur de feu ton corps de flammes
Je ne sais quoi penser moi l'amoureux
Depuis que tu as mis l'ultime lame
Maintenant tout me paraît presque vieux
Oui ce ne sont que trois années
Ce sont trois petites années
Pourtant
J'ai vécu toutes sortes d'autres choses
J'aimais pour qu'on m'aime et ne plus t'aimer
Adieu cœur cruel adieu cœur morose
Je le répète je l'ai répété
Et de ce mur peu m'importent les causes
Mais ce ne sont que trois années
Ce sont trois légères années
Pourtant
J'ai changé car le temps fait des merveilles
Mais peut-être que je te reverrai
Alors si tu vois mes deux joues vermeilles
Que tu aies encore un toit se pourrait
Et ce bien qu'il ne sera plus le même
Car ce ne sont que trois années
Ce sont trois trop courtes années
Pourtant
Je l'ai tout le temps souhaité
Je l'ai presque réalisé
Mais je ne t'ai pas oublié.
Peut-être
Je t'ai vue
Tu étais belle
Tu m'intriguais
Tu m'intéressais
Tu n'étais pas
Comme moi
Comme les autres
Et pourtant tu ressemblais
À l'être parfait
Je t'aimais
Peut-être
Et quand à ces mots
Ces trois ces seuls
Je t'aime mais mois aussi
Emporté par la fougue et la joie
Te voilà dans mes bras
Nous voilà unis
Rêvant d'avenir
Riant
Sous le soleil
Qui destinait à nos chants nuptiaux
De nous faire grands amants de l'Histoire
Uniques
Heureux
Toi en fière amoureuse
Et moi
Et moi
Nous devions avoir tout cela
Pourtant
Des nos caresses sans chaleur
Des nos baisers sans douceur
Que mon désir est inassouvi
Que ma bouche est amère
Merde
Que mon corps est intact
Et quand la vérité m'apparaît
Dans le silence
Tu t'en vas
Me jetant parfois des regards
Me crachant d'autres fois ton venin
Mais les questions
Les questions
Restent
Voilà la pluie Suis-je belle
À quand le beau temps Suis-je belle
Je vais maintenant oublier
Peut-être...
-
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- Enregistré le : 29 août 2009 14:16
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Re: Poèmes
Dingue! Un topic sur les poèmes et j'avais rien remarqué?? La honte est sur moi!!!
....
Bon, ben je m'y colle aussi
! Voici le premier poème que j'ai écris:
La haine
Comment appeler ce sentiment,
Cette envie de tout détruire.
De jours en jours je me retrouve
Dans les ténèbres de la solitude.
Comment appeler ce sentiment,
La haine, tout simplement
Je crie mon désespoir
Depuis la nuit des temps.
Des yeux noirs me regardent
Serait-ce la mort ?
Je ne peux m'échapper
Des enfers de la tristesse.
Je veux quitter cette vie,
Aller en paix au paradis.
Seigneur, je vous en prie,
Laissez-moi partir d'ici,
Car mon cœur ne peut le contenir,
Ce sentiment qui m'envahit.
La vie est une cruauté
Qu'on ne peut supporter,
Qui m'accable de tous les maux.
Je me noie dans les injures
L'espérance, serait-ce mon seul salut?
Les nuits sont paisibles,
Les rêves un paradis.
Je ne veux pas me réveiller,
J'ai trop peur de la réalité.
La joie, qu'est-ce pour moi ?
Un simple sentiment,
Une infime sensation.
En tant qu'être vivant
Je ne peux rien ressentir.
Mon esprit se vide de toutes pensées.
Je m'en vais sur les terres de Pluton,
Je vois les crocs du gardien impitoyable.
J'ai traversé les portes de Perséphone,
J'ai perdu mon âme à jamais.
Mais qui s'en soucie ?
Que je meure, que je m'asphyxie?
Personne ne m'entendra
Le jour où je m'en irai vraiment.
Je ne peux rien repousser,
Tout ce qui est là est inévitable
La fatalité, quel odieux destin
Que d'être oublié
De nos plus chères personnes,
De nos aimés.
Je ne peux rien faire
Face à ce sentiment
Je peux l'aimer, je peux le détester,
Mais c'est lui qui dirige ma vie.
Tout ça c'est fini, je m'en vais
Auprès de mes ancêtres.
Je ne vois plus rien,
Tout est devenu noir
Autour de moi.
Je n'ai plus aucune lumière en moi.
Je n’ai plus aucune chance de m'en sortir.
Je pleur des larmes de sang,
De sang noir de ma haine qui m'entraine
Dans les profondeurs de la Mort.
Delphine Lüscher, 2009
....
Bon, ben je m'y colle aussi

La haine
Comment appeler ce sentiment,
Cette envie de tout détruire.
De jours en jours je me retrouve
Dans les ténèbres de la solitude.
Comment appeler ce sentiment,
La haine, tout simplement
Je crie mon désespoir
Depuis la nuit des temps.
Des yeux noirs me regardent
Serait-ce la mort ?
Je ne peux m'échapper
Des enfers de la tristesse.
Je veux quitter cette vie,
Aller en paix au paradis.
Seigneur, je vous en prie,
Laissez-moi partir d'ici,
Car mon cœur ne peut le contenir,
Ce sentiment qui m'envahit.
La vie est une cruauté
Qu'on ne peut supporter,
Qui m'accable de tous les maux.
Je me noie dans les injures
L'espérance, serait-ce mon seul salut?
Les nuits sont paisibles,
Les rêves un paradis.
Je ne veux pas me réveiller,
J'ai trop peur de la réalité.
La joie, qu'est-ce pour moi ?
Un simple sentiment,
Une infime sensation.
En tant qu'être vivant
Je ne peux rien ressentir.
Mon esprit se vide de toutes pensées.
Je m'en vais sur les terres de Pluton,
Je vois les crocs du gardien impitoyable.
J'ai traversé les portes de Perséphone,
J'ai perdu mon âme à jamais.
Mais qui s'en soucie ?
Que je meure, que je m'asphyxie?
Personne ne m'entendra
Le jour où je m'en irai vraiment.
Je ne peux rien repousser,
Tout ce qui est là est inévitable
La fatalité, quel odieux destin
Que d'être oublié
De nos plus chères personnes,
De nos aimés.
Je ne peux rien faire
Face à ce sentiment
Je peux l'aimer, je peux le détester,
Mais c'est lui qui dirige ma vie.
Tout ça c'est fini, je m'en vais
Auprès de mes ancêtres.
Je ne vois plus rien,
Tout est devenu noir
Autour de moi.
Je n'ai plus aucune lumière en moi.
Je n’ai plus aucune chance de m'en sortir.
Je pleur des larmes de sang,
De sang noir de ma haine qui m'entraine
Dans les profondeurs de la Mort.
Delphine Lüscher, 2009
- sonilinkgi
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Re: Poèmes
moi j'en ai 5 :
1) Dans les caveaux d'insondable tristesse
Où le Destin m'a déjà relégué ;
Où jamais n'entre un rayon rose et gai ;
Où, seul avec la Nuit, maussade hôtesse,
Je suis comme un peintre qu'un Dieu moqueur
Condamne à peindre, hélas ! sur les ténèbres ;
Où, cuisinier aux appétits funèbres,
Je fais bouillir et je mange mon cœur,
Par instants brille, et s'allonge, et s'étale
Un spectre fait de grâce et de splendeur
A sa rêveuse allure orientale,
Quand il atteint sa totale grandeur,
Je reconnais ma belle visiteuse :
C'est Elle ! noire et pourtant lumineuse.
2) Frôlée par les ombres des morts
Sur l'herbe où le jour s'exténue
L'arlequine s'est mise nue
Et dans l'étang mire son corps
Un charlatan crépusculaire
Vante les tours que l'on va faire
Le ciel sans teinte est constellé
D'astres pâles comme du lait
Sur les tréteaux l'arlequin blême
Salue d'abord les spectateurs
Des sorciers venus de Bohême
Quelques fées et les enchanteurs
Ayant décroché une étoile
Il la manie à bras tendu
Tandis que des pieds un pendu
Sonne en mesure les cymbales
L'aveugle berce un bel enfant
La biche passe avec ses faons
Le nain regarde d'un air triste
Grandir l'arlequin trismégiste.
3, elle est de moi) J'étais un démon avec une armure
un inconnu arrive pour me voler cette armure
il ma fait danser pendant trois jours et trois nuits
je me suis effondrée par terre car il savais qui je suis
il a tailler mon armure en un objet en forme de cœur
je me suis retrouver sur le sac d'une personne qui chercher malheur
je me suis fait voler par un enfant dénommé skull-kid
et rechercher par un héros nommé link
va-t-il m'en empêcher de détruire termina?
personne ne le sais car je suis le masque de majora.
4) Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Après m'être éveillé
Dans mon cercueil doré,
Je me suis mis à chercher
Un être à déguster.
Ne me trouvez pas répugnant,
Je ne peux vivre sans.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Après l'avoir trouvé,
Mes crocs je lui ai plantés
Très profondément.
Le goût de son sang
Dans ma bouche a coulé
J'en veux encore, oh s'il vous plaît.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Son sang coulait dans mon corps,
Plus doux que la mort,
Alors, la conscience apaisée
Au cimetière je m'en suis retourné.
Ne me trouvez pas horrible,
Sans tout ça vivre m'est impossible.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Le soleil apparaît,
Je dois m'en retourner.
Mais hélas il est trop tard,
Adieu, je pars.
J'ai fini ma vie cramé
Adieu humains au sang si frais.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE.
Et 5) J’ai caressé la mort, riant au suicide,
Souvent et volontiers quand j’étais plus heureux;
De ma joie ennuyé je la trouvais aride,
J’étais las d’un beau ciel et d’un lit amoureux.
Le bonheur est pesant, il assoupit notre âme.
Il étreint notre cœur d’un cercle étroit de fer;
Du bateau de la vie il amortit la rame;
Il pose son pied lourd sur la flamme d’enfer,
Auréole, brûlant sur le front du poète,
Comme au pignon d’un temple un flambeau consacré;
Car du cerveau du Barde, arabe cassolette,
Il s’élève un parfum dont l’homme est enivré.
C’est un oiseau, le Barde! il doit rester sauvage:
La nuit, sous la ramure, il gazouille son chant:
Le canard tout boueux se pavane au rivage,
Saluant tout soleil ou levant ou couchant.
C’est un oiseau, le Barde! il doit vieillir austère,
Sobre, pauvre, ignoré, farouche, soucieux,
Ne chanter pour aucun, et n’avoir rien sur terre
Qu’une cape trouée, un poignard et les Cieux!
Mais le barde aujourd’hui, c’est une voix de femme,
Un habit bien collant, un minois relavé,
Un perroquet juché chantonnant pour madame,
Dans une cage d’or un canari privé;
C’est un gras merveilleux versant de chaudes larmes
Sur des maux obligés après un long repas;
Portant un parapluie, et jurant par ses armes;
L’électuaire en main invoquant le trépas,
Joyaux, bals, fleurs, cheval, château, fine maîtresse,
Sont les matériaux de ses poèmes lourds:
Rien pour la pauvreté, rien pour l’humble en détresse;
Toujours les souffletant de ses vers de velours.
Par merci! voilez-nous vos airs autocratiques;
Heureux si vous cueillez les biens à pleins sillons!
Mais ne galonnez pas, comme vos domestiques,
Vos vers qui font rougir nos fronts ceints de haillons.
Eh! vous de ces soleils, moutonnier parélie!
De cacher vos lambeaux ne prenez tant de soin:
Ce n’est qu’à leur abri que l’esprit se délie;
Le barde ne grandit qu’enivré de besoin!
Voila.
1) Dans les caveaux d'insondable tristesse
Où le Destin m'a déjà relégué ;
Où jamais n'entre un rayon rose et gai ;
Où, seul avec la Nuit, maussade hôtesse,
Je suis comme un peintre qu'un Dieu moqueur
Condamne à peindre, hélas ! sur les ténèbres ;
Où, cuisinier aux appétits funèbres,
Je fais bouillir et je mange mon cœur,
Par instants brille, et s'allonge, et s'étale
Un spectre fait de grâce et de splendeur
A sa rêveuse allure orientale,
Quand il atteint sa totale grandeur,
Je reconnais ma belle visiteuse :
C'est Elle ! noire et pourtant lumineuse.
2) Frôlée par les ombres des morts
Sur l'herbe où le jour s'exténue
L'arlequine s'est mise nue
Et dans l'étang mire son corps
Un charlatan crépusculaire
Vante les tours que l'on va faire
Le ciel sans teinte est constellé
D'astres pâles comme du lait
Sur les tréteaux l'arlequin blême
Salue d'abord les spectateurs
Des sorciers venus de Bohême
Quelques fées et les enchanteurs
Ayant décroché une étoile
Il la manie à bras tendu
Tandis que des pieds un pendu
Sonne en mesure les cymbales
L'aveugle berce un bel enfant
La biche passe avec ses faons
Le nain regarde d'un air triste
Grandir l'arlequin trismégiste.
3, elle est de moi) J'étais un démon avec une armure
un inconnu arrive pour me voler cette armure
il ma fait danser pendant trois jours et trois nuits
je me suis effondrée par terre car il savais qui je suis
il a tailler mon armure en un objet en forme de cœur
je me suis retrouver sur le sac d'une personne qui chercher malheur
je me suis fait voler par un enfant dénommé skull-kid
et rechercher par un héros nommé link
va-t-il m'en empêcher de détruire termina?
personne ne le sais car je suis le masque de majora.
4) Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Après m'être éveillé
Dans mon cercueil doré,
Je me suis mis à chercher
Un être à déguster.
Ne me trouvez pas répugnant,
Je ne peux vivre sans.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Après l'avoir trouvé,
Mes crocs je lui ai plantés
Très profondément.
Le goût de son sang
Dans ma bouche a coulé
J'en veux encore, oh s'il vous plaît.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Son sang coulait dans mon corps,
Plus doux que la mort,
Alors, la conscience apaisée
Au cimetière je m'en suis retourné.
Ne me trouvez pas horrible,
Sans tout ça vivre m'est impossible.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE
Le soleil apparaît,
Je dois m'en retourner.
Mais hélas il est trop tard,
Adieu, je pars.
J'ai fini ma vie cramé
Adieu humains au sang si frais.
Je suis né la nuit,
Je suis né immortel,
Je n'irai jamais au ciel.
Je suis un vampi...
RE
Vampi...RE.
Et 5) J’ai caressé la mort, riant au suicide,
Souvent et volontiers quand j’étais plus heureux;
De ma joie ennuyé je la trouvais aride,
J’étais las d’un beau ciel et d’un lit amoureux.
Le bonheur est pesant, il assoupit notre âme.
Il étreint notre cœur d’un cercle étroit de fer;
Du bateau de la vie il amortit la rame;
Il pose son pied lourd sur la flamme d’enfer,
Auréole, brûlant sur le front du poète,
Comme au pignon d’un temple un flambeau consacré;
Car du cerveau du Barde, arabe cassolette,
Il s’élève un parfum dont l’homme est enivré.
C’est un oiseau, le Barde! il doit rester sauvage:
La nuit, sous la ramure, il gazouille son chant:
Le canard tout boueux se pavane au rivage,
Saluant tout soleil ou levant ou couchant.
C’est un oiseau, le Barde! il doit vieillir austère,
Sobre, pauvre, ignoré, farouche, soucieux,
Ne chanter pour aucun, et n’avoir rien sur terre
Qu’une cape trouée, un poignard et les Cieux!
Mais le barde aujourd’hui, c’est une voix de femme,
Un habit bien collant, un minois relavé,
Un perroquet juché chantonnant pour madame,
Dans une cage d’or un canari privé;
C’est un gras merveilleux versant de chaudes larmes
Sur des maux obligés après un long repas;
Portant un parapluie, et jurant par ses armes;
L’électuaire en main invoquant le trépas,
Joyaux, bals, fleurs, cheval, château, fine maîtresse,
Sont les matériaux de ses poèmes lourds:
Rien pour la pauvreté, rien pour l’humble en détresse;
Toujours les souffletant de ses vers de velours.
Par merci! voilez-nous vos airs autocratiques;
Heureux si vous cueillez les biens à pleins sillons!
Mais ne galonnez pas, comme vos domestiques,
Vos vers qui font rougir nos fronts ceints de haillons.
Eh! vous de ces soleils, moutonnier parélie!
De cacher vos lambeaux ne prenez tant de soin:
Ce n’est qu’à leur abri que l’esprit se délie;
Le barde ne grandit qu’enivré de besoin!
Voila.
-
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Re: Poèmes
Woah!! C'est très beau ^3^
Un autre de moi:
Souvenirs perdus d’une mémoire oubliée
Passé, présent, futur.
Futur, présent, passé.
Qu’est-il arrivé
Ce jour-là, je n’en ai cure.
J’en appelle à ma mémoire
Ainsi qu’à mes souvenirs.
Qu’y avait-il dans ce grimoire ?
Je préfère en rire.
De simples images
Me viennent en mirage
Tel un brouillard
Qui obstrue ma vue.
De ce tonnerre assourdissant
Je n’entends que sifflement.
De cet éclair aveuglant
Je ne vois que du blanc.
Je suis emportée par le courant
De ce torrent violant.
Je finis dans ces eaux troubles
Qui coulent et s’écoulent.
La flamme de ma passion
S’est éteinte
Par l’étincelle d’une étreinte
Qui est une déflagration.
Le sagittaire stellaire,
Cette constellation
Qui veille sur moi
Telle la lumière céleste
De l’astre suprême,
M’emporte à travers les étoiles,
Ses paires, pour y retrouver
La sagesse, le savoir.
De ce rêve égaré,
Je trouve la vérité.
Dans cet univers,
Je découvre enfin la lumière.
De ce rêve éveillé,
Je me souviens
Qu’à travers les âges
Je ne suis rien.
Le temps file à toute allure.
Je ne peux suivre le rythme
De cette galaxie.
Je m’aventure dans ce cosmos
Où il n’y aura pour moi
Ni de lendemain, ni de futur.
Tempus fugit.
Je pars, je m’enfuis
Et je laisse derrière moi
Des espoirs dans des yeux
Pleins de larmes de me voir
Couchée ainsi dans le noir.
Voilà.
Un autre de moi:
Souvenirs perdus d’une mémoire oubliée
Passé, présent, futur.
Futur, présent, passé.
Qu’est-il arrivé
Ce jour-là, je n’en ai cure.
J’en appelle à ma mémoire
Ainsi qu’à mes souvenirs.
Qu’y avait-il dans ce grimoire ?
Je préfère en rire.
De simples images
Me viennent en mirage
Tel un brouillard
Qui obstrue ma vue.
De ce tonnerre assourdissant
Je n’entends que sifflement.
De cet éclair aveuglant
Je ne vois que du blanc.
Je suis emportée par le courant
De ce torrent violant.
Je finis dans ces eaux troubles
Qui coulent et s’écoulent.
La flamme de ma passion
S’est éteinte
Par l’étincelle d’une étreinte
Qui est une déflagration.
Le sagittaire stellaire,
Cette constellation
Qui veille sur moi
Telle la lumière céleste
De l’astre suprême,
M’emporte à travers les étoiles,
Ses paires, pour y retrouver
La sagesse, le savoir.
De ce rêve égaré,
Je trouve la vérité.
Dans cet univers,
Je découvre enfin la lumière.
De ce rêve éveillé,
Je me souviens
Qu’à travers les âges
Je ne suis rien.
Le temps file à toute allure.
Je ne peux suivre le rythme
De cette galaxie.
Je m’aventure dans ce cosmos
Où il n’y aura pour moi
Ni de lendemain, ni de futur.
Tempus fugit.
Je pars, je m’enfuis
Et je laisse derrière moi
Des espoirs dans des yeux
Pleins de larmes de me voir
Couchée ainsi dans le noir.
Voilà.