C'est avec joie que partage avec vous les quelques alexandrins à double rimes (une à la fin et une à l'hémistiche) rendant un modeste hommage au Chant de Saria que nous apprécions tous.
Par ailleurs, trouverez-vous le message caché entre ces lignes ?

Familière forêt, berceau de son enfance
La mélodie si gaie, s'y joue sans défaillance
Sitôt que l'on y est, tant que dure l'errance
Fascinante allégresse envahit le feuillage
La musique progresse près des enfants sans âge
Si elle est une caresse, son auteur est un sage
Fantaisie qui un jour toucha un coeur de roc
La montagne a toujours le désir qu'on l'invoque
Si Darunia est pour une danse baroque
Misons sur les tambours même si le rythme choque
Régal de ces balourds, leur gaîté m'interloque
Signe de l'amitié, chant toujours permettant
Doucement de passer des obstacle affligeants
Si de loin il émet, partout elle l'entend
Solide est l'amitié, même au delà du temps
Miroir ô je te hais ! il n'est plus un enfant…
Résonne davantage que tous les chant d'alors
Mise en son du partage quatre races l'adorent
Soleil et témoignage des trois triangles d'or
Miracle est ce langage, digne chant de Farore