• Legend of Zelda
  • Adventure of Link
  • A Link to the Past
  • Link's Awakening
  • Ocarina of Time
  • Majora's Mask
  • Oracle of Seasons
  • Oracle of Ages
  • The Wind Waker
  • The Minish Cap
  • Four Swords Adventures
  • Twilight Princess
  • Phantom Hourglass
  • Spirit Tracks
  • Skyward Sword
  • A Link Between Worlds
  • Tri Force Heroes
  • Breath of the Wild
  • Tears of the Kingdom
  • jeux The Legend of Zelda

Retrospection des Jeux

Ecrit par Génis, Sylvain et Hikari en juillet 2011

Retrospection des Jeux - vidéo de Sylvain

Château d'Hyrule, intérieur, nuit, début de soirée.

Discours d'ouverture de la cérémonie des 25 ans de la Légende.
Sur l'estrade, trois divines jeunes femmes s'avancent vers le micro, l'une d'elles prend la parole.

Bonsoir le Jeu Vidéo, bonsoir Hyrule, bonsoir à tous ! Cette année, c'est à moi, Farore Déesse du Courage, que revient l'honneur d'ouvrir la cérémonie des 25 ans de notre Légende. Vingt-cinq ans... Un quart de siècle qu'un jeune homme nommé Link sort du lit chaque matin pour sauver le monde que mes soeurs et moi avons créé et baptisé Hyrule. Ma foi, je crois qu'une petite rétrospective s'impose, non ?

The Legend of ZeldaTout a commencé au Japon, le 21 février 1986, lorsque nos créateurs, que je salue, Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka, lancèrent un jeu révolutionnaire sur FDS (Famicom Disk System). Son nom ? The Legend of Zelda...
L'aîné de notre Légende fut le premier jeu à disposer d'un système de sauvegardes constitué d'une pile au lithium, incluse dans la cartouche. Alors qu'à l'époque les scénarios des jeux de plate-forme étaient linéaires et avec vue latérale, The Legend of Zelda offrait la possibilité au joueur d'explorer l'univers du jeu comme il le souhaitait, en vue aérienne. Cet épisode posa les fondements suivants de la série : un scénario épique où Link, preux chevalier, doit vaincre le maléfique Ganon pour sauver la princesse Zelda et l'empêcher de mettre la main sur la divine Triforce, arpentant des donjons truffés d'énigmes gardés par des monstres avec la présence de nombreux objets : de l'épée légendaire au poulet rôti en passant par la potion. Sur NES, le jeu s'est vendu à 6,5 millions d'exemplaires et est considéré comme l'un des meilleurs au monde.

Adventure of LinkMoins d'un an plus tard, le 14 janvier 1987, sort Adventure of Link sur FDS puis sur NES fin 1988 aux États-Unis et en Europe.
Shigeru Miyamoto préfère cette fois utiliser la vue aérienne uniquement pour l'exploration ; les donjons, villes et grottes sont en 2D. Ce jeu ressemble davantage à un RPG que les autres puisque l'on gagne des points d'expérience en tuant des ennemis. Ces points d'expérience permettent ainsi d'augmenter la magie, la vie et la puissance d'attaque, le tout sur 8 niveaux. La vie est représentée sous la forme d'une barre, et non avec les coeurs habituels. La magie sert à lancer des sorts, comme le sort Bouclier qui augmente la défense. Si notre cher héros meurt il retourne au point de départ, le Palais où dort d'un sommeil sans fin la princesse Zelda. Bien sûr, la possibilité de sauvegarder à chaque Game Over est disponible. Néanmoins, les points d'expérience accumulés chutent à zéro. Heureusement, le niveau, lui, est conservé. Très bon jeu, il est classé comme l'une de nos aventures les plus difficiles.

A Link to the PastC'est le 21 novembre 1991 que sort au Japon le troisième opus : A Link to the Past, sous la direction de Shigeru Miyamoto et Takashi Tezuka pour la Super Nintendo.
A cette époque, la plupart des cartouches de SNES contenaient 4 Mbit (512 ko) de mémoire, mais A Link to the Past utilise quant à lui une cartouche de 8 Mbit (1 Mo) permettant aux développeurs de créer un univers vaste et unique. De plus, les musiques du jeu sont d'excellente qualité grâce au SPC700 (le processeur sonore de la SNES) qui était bien supérieur à celui des autres consoles. La vue aérienne de The Legend of Zelda fait son retour, tandis que le système de vue latérale et de points d'expérience de Adventure of Link sont abandonnés. Cet épisode très orienté sur l'exploration reprend les éléments de ses aînés avec toutefois de véritables améliorations : des quêtes annexes et de nombreux nouveaux objets viennent enrichir l'aventure. Certains donjons possèdent même plusieurs étages reliés par des escaliers ou même des trous dans le sol. L'existence de deux mondes parallèles, "Le monde de la lumière" c'est-à-dire le Hyrule ordinaire et "Le monde des ténèbres" où Hyrule est une terre désolée dirigée par le maléfique Ganon, permet à Link de voyager à travers les mondes à l'aide d'un miroir ou de portails. A Link to the Past fut un immense succès et s'est vendu à plus de 4,6 millions d'exemplaires à travers le monde. Il est encore considéré comme l'un des plus grands jeux de l'histoire du Jeu Vidéo.

Link's AwakeningLe 6 juin 1993, la série prend d'assaut la Game Boy avec Link's Awakening.
Ce jeu prend place après les évènements de A Link To The Past où Link décide de partir en voyage sur un bateau. Mais, victime d'une forte tempête, il s'échoue sur l'île mystérieuse de Cocolint. Certains personnages et ennemis font écho à Mario, une saga voisine de Zelda, avec notamment le labyrinthe du Poisson Rêve qui n'est pas sans rappeler un oeuf de Yoshi. L'aventure se déroule en vue aérienne, comme dans la plupart des jeux en 2D de la série. Dans certains souterrains, une vue horizontale rappelle The Adventure of Link. Premier épisode sur console portable, Link's Awakening a marqué les esprits.
Enfin, le 12 décembre 1998, il fut adapté sur Game Boy Color, y gagnant des graphismes en couleurs et un nouveau donjon.

Après un long silence de la part des développeurs, le 21 novembre 1998, sort enfin sur la Nintendo 64 Ocarina of Time. Développé sur une cartouche de 256 mb qui n'avait jamais été utilisée par l'entreprise Nintendo auparavant, Ocarina of Time révolutionne littéralement la série par ses graphismes tout en 3D, avec un moteur manifestement en avance sur son temps.
Ocarina of TimeLa gestion du temps habilement employée dans Ocarina of Time est un élément majeur qui a particulièrement frappé les joueurs lors de la sortie du jeu. Outre le fait que le scénario prend place dans deux périodes de temps bien distinctes, pendant lesquelles Link est d'abord enfant puis devient adulte, le joueur évolue dans un monde gigantesque - à parcourir à dos d'Epona - modifié par le cycle du jour et de la nuit. Cet opus relate non seulement la genèse de la série, mais donne aussi une psychologie certaine aux protagonistes récurrents de l'aventure. Quarts de coeur à collectionner, masques à vendre, rubis à récolter, épées à forger... Ocarina of Time s'assure avec l'aventure principale et les quêtes annexes une remarquable durée de vie. Enfin, les musiques de Koji Kondo, compositeur attitré de la série, constituent un point fort du jeu puisque certains thèmes marqueront les fans et l'histoire de la saga.
Son succès énorme fait de cet opus la meilleure vente de la N64 en 1998. Sacré "meilleur jeu de tous les temps" par le magazine Famitsu et comme "jeu vidéo s'étant le plus vendu dans un court laps de temps" par le livre Guinness des records car, en 8 semaines, il s'est écoulé six millions d'exemplaires dans le monde, et au total, 7,6 millions de personnes possèdent ce jeu.
En 2002, il bénéficie avec d'autres épisodes d'une réédition sur la Game Cube de Nintendo, accompagné du mode "Master Quest" proposant aux joueurs aguerris de redécouvrir le jeu, sous un angle bien plus difficile. En juin 2011, cet opus est désormais disponible sur la Nintendo 3DS, y gagnant des graphismes léchés et en 3D ainsi que quelques ajouts pratiques.
Référence en la matière, Ocarina of Time s'inscrit, avec A Link to the Past, comme l'un des meilleurs opus de la série... Mais qu'est-ce que ?...

Din expulse brutalement sa soeur dans les coulisses.

Majora's MaskA ce rythme-là, elle allait nous faire toute la série... Bref. Suite directe d'Ocarina of Time, Majora's Mask, sort en 2000 sur Nintendo 64, produit par Shigeru Miyamoto et dirigé par Eiji Aonuma et Yoshiaki Koizumi.
Cet épisode reprend un gameplay et des graphismes similaires à son prédécesseur, mais présente une atmosphère plus oppressante, voire malsaine et se distingue de son aîné par sa courte durée de vie. Fondé sur un continuel retour dans le temps très élaboré, des quêtes annexes nombreuses et l'utilisation de masques magiques, Majoras's Mask met en scène un Link enfant perdu dans un monde à la fois familier et inconnu qu'il devra sauver de la destruction, en trois jours à peine.
C'est l'un des rares jeux sur la console à requérir l'utilisation de l'Expansion Pak, un accessoire vendu séparément permettant d'augmenter la taille de la mémoire de la console.
Résolument original, Majora's Mask est sans doute l'épisode le plus mature de la série. Il rencontra un bon accueil et se vendit à 3.3 millions d'exemplaires dans le monde, même si, il divise encore aujourd'hui les fans quant à son univers dérangeant et son angoissante course contre la montre.

Oracle of Ages/SeasonsLe 27 février 2001, apparaissent les jumeaux Oracle of Ages et Oracle of Seasons sur GameBoy, par l'association de Capcom, Nintendo et Sega (Flagship), dirigé par Hidemaro Fujibayashi.
Ici, Link devra sauver non pas Hyrule, mais deux mondes parallèles, Labrynna et Holodrum, par l'intermédiaire de deux oracles, différents selon le jeu. Étroitement liés, ces deux opus offrent la possibilité de continuer l'aventure et de terrasser le mal une fois les deux jeux finis, via un système de mots de passe et un câble link. Semblables aussi bien graphiquement qu'au niveau du gameplay à Link's Awakening DX, les différences notables se font au niveau des objets que Link utilise durant cette aventure. On notera qu'un troisième jeu, Oracle of Secrets, avait été avancé mais il fut retiré par souci de connexion.

Twilight PrincessNouvelle bombe de la saga, celle-ci s'appelle The Wind Waker. Le jeu fait son apparition sur la nouvelle console de Nintendo, la Game Cube, le 13 décembre 2002 au Japon, réalisé par Eiji Aonuma et produit par Shigeru Miyamoto et Takashi Kezuka.
Quelques centaines d'années après l'épisode Ocarina of Time, The Wind Waker rompt avec l'esprit médiéval de la série et met en scène un nouveau Link dans un nouveau monde recouvert par les flots. Notre aventurier devra ainsi parcourir l'océan peuplé d'îles et de créatures en tous genres pour sauver sa soeur, Arielle avec l'aide de Tetra, la jeune capitaine d'un navire pirate. Exit Epona et l'Ocarina, voici le bateau nommé Lion Rouge et la Baguette du Vent. Place également à de nouvelles actions pour notre héros : ramper dans les galeries, se balancer au bout d'une corde, apprendre à manier l'épée... Autant de nouveautés qui viennent enrichir votre aventure. Enfin, The Wind Waker fut le premier Zelda à proposer des graphismes en "cell-shading" (effet dessin animé), décision osée qui provoqua une réelle controverse parmi les fans. Ce qui n'empêcha pas le magazine Famitsu de lui donner la note maximale de 40/40 et le site français jeuxvidéo.com celle de 20/20.

Four Swords/A Link To The PastLa même année, sort Four Swords, sur la même cartouche que la réédition de A Link To The Past sur GBA édité Flagship, le 14 mars 2003 au Japon et le 28 mars 2003 en Europe.
Ce jeu est particulier par rapport aux autres puisqu'il n'est jouable qu'en multi joueurs. Il comporte trois niveaux dans lesquels il faut ramasser le maximum de rubis, pour les montrer aux Grandes Fées qui se cachent derrière des boss. A chaque fin de partie, vous affrontez Vaati, le Mage du Vent, qui vous fait d'abord affronter son double puis lui-même. Un joueur ne peut avoir qu'un objet à la fois, poussant ainsi les quatre Link à s'unir pour vaincre le mal. À la fin de chaque zone, le joueur qui a le plus amassé de rubis reçoit une médaille du courage. Il en faut 10 pour débloquer la quête des énigmes dans A Link to the Past.
Cependant, moins d'un an plus tard, Four Swords Adventures, sous la direction de Toshiaki Suzuki, succède à son aîné sur la Game Cube en proposant des graphismes dans le style The Wind Waker avec un mode solo et un mode multi joueurs complet... Et pose ce couteau, Nayru, je te laisse la place.

Ocarina of TimeMerci bien... Après Four Swords arrive sur la même console The Minish Cap, produit par Keiji Inafune et dirigé par Hidemaro Fujibayashi le 4 novembre 2004 au Japon.
Reprenant les graphismes de The Wind Waker adaptés à la GBA, cet opus apporte un gameplay nouveau, où Link, un jeune forgeron, sera amené à sauver une fois de plus son pays natal du cruel magicien Vaati en compagnie d'Exelo, l'étrange allié dont il fera la connaissance au début de l'aventure. Celui-ci permettra au duo de rétrécir et de passer dans des endroits normalement inaccessibles. Alors que certains joueurs furent déçus de la facilité et de la faible la durée de vie du jeu, d'autres furent satisfaits de son originalité.

Twilight PrincessNouveau grand pas pour la série, Twilight Princess sort le 2 décembre 2006 au Japon sur la Game Cube et comme jeu de lancement pour la Wii.
Réalisé par Eiji Aonuma et produit par Shigeru Miyamoto, Nintendo abandonne le style "cartoon" de The Wind Waker pour offrir à la saga un Zelda plus réaliste, plus mature mais aussi plus sombre. Oscillant entre le monde de la Lumière et celui du Crépuscule, Link devra sauver Hyrule et ses habitants plongés dans la pénombre. Avec l'aide de la caustique Midona, énigmatique petit être du Crépuscule, Link aura la possibilité de se transformer en loup afin de flairer des pistes grâce à ses sens ou encore, de communiquer avec les animaux pour découvrir ce monde crépusculaire et ramener la lumière dans son royaume. Le nouveau gameplay ne s'arrête pas là puisqu'il est désormais possible à notre bretteur de trancher ses ennemis sur le dos d'Epona ou en courant, et d'apprendre de nouvelles techniques à l'épée. D'anciens items de Link comme la lampe à huile d'A Link To The Past et les flèches-bombes de Link's Awakening refont leur apparition. Sur Wii, le jeu bénéficie de quelques changements comme le maniement de l'épée qui se fait uniquement via la Wiimote et le Nunchunk. Au final, Twilight Princess s'est vendu à 1,56 millions d'exemplaires sur Game Cube et à 5,18 millions d'exemplaires sur Wii. Il a ainsi remporté le titre de meilleur jeu de l'année au Gametrailer Awards 2006.

Phantom HourglassDirigé par Daiki Iwamoto et produit par Eiji Aonuma, Phantom Hourglass débarque le 23 juin 2007 au Japon sur la DS, nouvelle console portable de Nintendo.
Suite directe de The Wind Waker, cet opus met en scène Link, aidé par le marin Linebeck, à la poursuite de Tetra enlevée sur le navire fantôme. Parfait exemple de la DS, Phantom Hourglass se joue quasi exclusivement au stylet avec l'utilisation des deux écrans et du microphone, permettant au joueur de résoudre de nombreuses énigmes, de diriger la trajectoire d'objets ou de personnages, ou encore d'annoter certains indices sur sa carte. Le jeu offre également la possibilité d'engager des combats online et à plusieurs grâce au réseau Nintendo Wi-fi Connection.

Spirit TracksContinuons avec Spirit Tracks, sorti le 23 décembre 2009 sur DS, réalisé par Daiki Iwamoto et produit par Eiji Aonuma.
Après les évènements de Phantom Hourglass, Link et Tetra parviennent à trouver leur terre promise et à fonder le nouvel Hyrule. Après la jument Epona et les navires, c'est aux commandes d'une locomotive à vapeur que nous retrouvons Link quelques centaines d'années plus tard, luttant malgré lui aux côtés de la Princesse Zelda contre un mal qui menace de ressurgir sur ces terres prospères. La coopération est à l'honneur dans cette aventure car désormais, c'est Zelda elle-même qui nous accompagne... Enfin, surtout son esprit, car celle-ci s'est vue tragiquement dépossédée de son enveloppe charnelle. Link devra donc parcourir Hyrule dans un train bien équipé et interagir avec sa nouvelle alliée, pour retrouver le corps de Zelda et restaurer les sceaux, afin d'éviter une nouvelle catastrophe. Dans la lignée de son prédécesseur, Spirit Tracks exploite au maximum les atouts de la console portable à travers la gestion du train, les combats à l'épée ou encore l'utilisation de la Flûte de la Terre, semblable à l'Ocarina. Le jeu a dans l'ensemble été bien accueilli malgré l'arrivée d'un train limitant considérablement la liberté de mouvement du joueur.

Dernier en date, Skyward Sword élaboré par Eiji Aonuma, sortira cette année sur Wii. Compromis graphique entre The Wind Waker et Twilight Princess, cet opus trouve néanmoins sa propre voie puisque Nintendo avoue s'être inspiré du peintre impressionniste Cézanne pour le rendu visuel. Jouable au Wii Motion Plus, permettant de contrôler l'armement avec une grande précision, Skyward Sword, qui se situe chronologiquement avant Ocarina of Time, présente un Link issu d'une île volante appelée Skyloft, descendant sur une terre inconnue accompagné d'une étrange jeune fille au visage familier. Très attendu par la communauté des fans, cet opus nous réserve vraisemblablement encore bien des surprises...

Nayru lève les yeux de son discours raturé et parcourt l'assemblée de son regard. Ses deux soeurs l'ont rejointe sur scène.


Bon, étant donné que les clôtures de discours sont toujours catastrophiques, nous n'allons pas nous éterniser là-dessus. En fait, nous voulions juste vous remercier, joueurs, héros et entrepreneurs, pour ces vingt-cinq ans d'aventures épiques. Alors, Link, Zelda et Ganondorf... Faites-nous encore rêver!


Note: Quelles bonnes âmes pourraient envoyer les images "start" des jeux manquants ? Merci.

Le Palais de Zelda :: Webmaster: Ariane
Design créé par Sylvain
www.palaiszelda.com :: Copyright © 1999-2024
Note légale : Ce site est protégé par les lois internationales sur le droit d'auteur et la protection de la propriété intellectuelle. Il est strictement interdit de le reproduire, dans sa forme ou son contenu, sans un accord écrit préalable du "Palais de Zelda".
retour au haut de la page
Mis à jour le 1.03.24